M. Dweik faisait partie des 23 parlementaires palestiniens – soit près de 20 % du CLP – détenus de la sorte. Le Comité des droits de l’homme des parlementaires de l’UIP n’a cessé de se battre pour la libération de M. Dweik et celle des autres parlementaires palestiniens.
Les cas de ces parlementaires sont inscrits, parmi d’autres, à l’ordre du jour du Comité des droits de l’homme des parlementaires qui ouvre aujourd’hui une session de quatre jours au Siège de l’UIP, à Genève.
Nombre d’entre eux sont en prison depuis plus d’un an et, pour certains, dans un état de santé préoccupant.
Ces nombreuses détentions paralysent le fonctionnement du CLP pourtant légitimement élu par les citoyens palestiniens.