La Commission permanente des affaires des Nations Unies de l'UIP a suivi de près le processus de sélection du prochain Secrétaire général des Nations Unies. Ayant accueilli avec satisfaction la Résolution 69/321 de l'Assemblée générale, qui décrit un processus de sélection plus inclusif et transparent, et consciente de la relation capitale entre les Nations Unies, les parlements nationaux et l'UIP, la Commission a décidé de demander aux candidats au poste de Secrétaire général des Nations Unies de répondre en quelques mots aux trois questions suivantes :
QUESTION 1:
Le Programme 2030 portera ses fruits si les parlementaires participent au développement des plans d’action au niveau national, au contrôle de leur mise en œuvre et à l’alignement des budgets et des législations sur le Programme. En tant que Secrétaire général de l’ONU, encouragerez-vous, au sein des Etats membres de l’Organisation, la participation des parlementaires à la mise en œuvre du Programme 2030 et des ODD ? [lire les réponses]
QUESTION 2:
De nombreux rapports du Secrétaire général de l’ONU et résolutions de l’Assemblée générale préconisent que les Nations Unies entretiennent une relation solide avec les parlements nationaux et avec l’UIP. En tant que Secrétaire général de l’ONU, quelles initiatives spécifiques prendrez-vous aux niveaux international et national en vue de renforcer cette relation et de mieux servir le peuple ? [lire les réponses]
QUESTION 3:
En tant que représentants du peuple, les parlementaires veulent s’assurer que le processus de sélection du Secrétaire général de l’ONU devienne plus démocratique. Selon vous, quel rôle peuvent-ils jouer dans le cadre de ce processus, par l’intermédiaire de l’UIP en sa qualité d’organisation mondiale des parlements ? [lire les réponses]