Le Sénateur Páez appelle l'attention sur les élections iraquiennes à l'étranger
Le Président de l'Union interparlementaire (UIP), le sénateur chilien Sergio Páez, a confirmé que les élections iraquiennes organisées dans 14 pays ont été menées de manière transparente et régulière. Le scrutin a eu lieu en même temps que les élections en Iraq. Le législateur chilien a souligné que bien qu'il n'y ait eu que neuf jours pour inscrire les électeurs et établir les listes électorales, 283 000 personnes se sont inscrites soit 25% des électeurs, et quelque 93% des électeurs inscrits ont effectivement voté.
El Mostrador (Chili) – 2 février 2005

“Les élections iraquiennes organisées en Iran ont été satisfaisantes”
Londres (IranMania).- Le Secrétaire général de l'Union interparlementaire (UIP), Anders Johnsson, a déclaré à Irna que le processus des élections parlementaires iraquiennes en Iran était assez satisfaisant. Johnsson a ajouté dans un entretien avec le chef du Bureau de IRNA à Qom que “le niveau de participation des ressortissants iraquiens dans les centres mis en place à cet effet en Iran est le plus élevé de tous les pays, ce qui montre que les autorités iraniennes ont pris les dispositions adéquates pour cette opération”. En réponse à une question sur l'éventualité de fraudes lors des élections parlementaires iraquiennes du 30 janvier, il a indiqué que “le système de supervision permettant de vérifier l'authenticité des élections est si rigoureux que de telles éventualités sont exclues”.
IranMania News - 29 janvier 2005

La Présidente du Parlement [hellénique] prend la parole lors d'un forum parlementaire sur la sécurité en Méditerranée
La Présidente du Parlement, Ana Psarouda-Benaki, a pris la parole lors de la quatrième Conférence sur la sécurité et la coopération en Méditerranée qui s'est tenue à Nauplie. Cette conférence avait pour but d'examiner la création d'un forum permanent des parlements méditerranéens. Dans son discours, Mme Psarouda- Benaki a plaidé pour l'intensification des efforts visant à créer une zone euro-méditerranéenne de libre échange et à résoudre les problèmes de sécurité posés ces dernières années. Elle a remarqué que, à défaut de créer un environnement sûr, on ne peut espérer que les pays méditerranéens se développent et prospèrent. Pour autant, on ne peut imposer la sécurité en “élevant des murs ou en menaçant d'acquérir des armes”, car celle-ci émane “de la volonté du peuple et de la coopération entre les gouvernements”. En déclarant que ce “mauvais cauchemar” devait être éradiqué, Mme Psarouda-Benaki a dit qu'il fallait s'attaquer aux racines du phénomène et tenter de traiter ce problème par le biais de processus démocratiques, sans compromettre “nos succès dans le domaine des institutions politiques et des droits de l'homme”.
Agence de presse d'Athènes (APA) – 7 février 2005